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The deceivers

Dååth

Metal Blade Records

1 juillet 2024 à 14:26:59

Dématérialisé

2024

9 titres pour 43'41''

Une petite vidéo:

Daath est un groupe Américain composé de 6 musiciens qui a démarré en 2003 avec une coupure de 13 ans entre cet album et l’avant dernier album de 2010. Daath a relancé la machine en 2023 en balançant quelques titres issus de « The Deceivers » ainsi que 2 reprises de Death et Morbid Angel, (note à moi-même : allez les écouter).
Daath c’est 4 albums : « Futility » (2004), « The Hinderers » (2007), « The Concealers » (2009) et « Daath » (2010).
Pour plus de détails sur cette discographie, regarde metal Archives.

Daath ratisse large dans le domaine du metal. Sur une base death metal qui n’hésite jamais à être mélodique dans le bon sens du terme :
- « No Rest No End » enclenche les hostilités dans une approche thrash mélodique.
- Il peut flirter avec une approche orchestrale voir symphonique « Hex Unending ».
- Avec « Ascension », c’est un mélange subtil de death thrash mélodique avec cette touche qui ne peut que plaire à un très large publique.
- Comme pour le premier titre de l’album, le batteur n’hésite pas pour s’exprimer pleinement, « With Ill Desire » c’est l’apport d’une touche légèrement industrielle en plus d’une ambiance limite orchestrale. Si Daath a l’occasion de sortir des versions orchestrales symphoniques réarrangés de leur morceaux qui ne peuvent que s’embellir avec, je suis preneur.
- « The Silent Foray » pourrait servire à illustrer une séquence cinématographique dans la partie instrumentale.
- « Unwelcome Return » et « Deserving of the Grave » des visions subtiles de leur art
- « Purified by Vengeance » avec une approche cinématographique pour poser cette ambiance pour ce titre.
- « Into Forgotten Dirt » encore une dose d’art death finement exécuté par des musiciens qui excellent en la matière.

Si tu recherches du death metal finement bien fait avec quelques touches qui sortent du lot, comme ce côté orchestral et ces apports thrash / groove metal, laisses toi bercer par cet album.
La production sonore possède ce grain qui permettra au grand public de s’y reconnaître.
Par contre les adaptes du death bourrin et sans concession, il faudra passer votre chemin.

Vincent

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