Voici « IV : Sacrament » le quatrième album de ce jeune groupe anglais, après l’album de 2016 « Prelude », celui de 2018 « II : Sojourn » et celui de 2020 « III : Pentecost ».

Comment définir leur musique ? C’est dans les limites pas spécialement précises entre le hard rock et le heavy metal qui aurait vu le jour à la fin des années 70 et aux prémices de la New Wave of British Heavy Metal. Une sorte de voyage dans le temps comme l’a fait le stoner avec le doom metal MAIS sans besoin de prendre de la drogue pour décoller dans les délires de la fumette et autres accessoires psychédéliques… Voir aussi une ambiance hippie qui prêche la bonne parole de la religion au lieu du fameux slogan « faites l’amour, pas la guerre ».

Je ne me plongerais pas dans les textes, vu que la religion ne fait pas parti de mes centres d’intérêt.
Niveau musicalité, les musiciens assurent. Ils ont composés de jolies chansons. Les ambiances sont variées.
C’est pour un public averti, toi qui penses que le metal, c’est que du bruit avec des grognements en guise de vocaux, écoutes cet album en boucle car tu auras tout faux.
Par contre, j’ai beau avoir l’esprit ouvert, et peut être que j’écoute trop de choses bourrines, je laisse ce groupe aux fans de rock formaté radio : le fameux « Adult Oriented Rock ».
Si tu es curieux, écoutes leur bandcamp. (https://wytchhazel.bandcamp.com/album/iv-sacrament)
Le titre qui sort un peu du lot de par son ambiance « folk » est « Future is Gold », c’est une sorte de ballade à chanter au coin du feu, qui pourrait illustrer un voyage, une aventure dans la thématique de la fantasy.

Vincent