Ron « Bumblefoot » Thal, ayant démarré chez Shrapnel Records (Mike Varney) dans les années 90, il a su montré son talent auprès d’un public de connaisseurs.
Il a collaboré avec les plus grands (Guns N’Roses…). Il a formé des projets qu’il me reste à découvrir ‘Art of Anarchy » et « Whom Gods Destroy », « Sons of Apollo » , je connais déjà ce projet.

Ce Grand guitariste par le talent revient avec un album purement instrumental. Si tu n’as pas l’habitude, il faudra investir du temps pour dompter la bête. Ne t’inquiètes pas trop, son univers musical est le metal, mais pas que ça, il y mélange des influences orchestrales, du blues et même de la country, à la sauce progressive.
Certaines parties « progressives » m’ont fait penser à du Carlos Santana, sur les parties blues, c’était du Gary Moore.

Tu vas partir dans l’espace « Simon in Space », réfléchir « Planetary Lockdown », visiter la Country teintée de rock’nroll « Moonshine Hootenanny », réviser tes classiques « Chopin Waltz Op64 N°2 », Headbanger dans une ambiance futuriste « Monstruoso (feat Steve Vai) », écouter la bande son d’un film qui reste à écrire « Cintaku », chanter la mélodie à tue tête « Once in Forever (feat Brian May, La Légende de Queen) », visiter rapidement l’Espagne « Andalusia », faire le deuil « Funeral March (feat Ben Karras qui fait pleurer son violon), vivre ce blues électrique avec cette belle mélodie « Griggstown Crossing », il y a un je ne sais quoi de Gary Moore « The Thread » et pour finir voyage dans un monde parrallèle « Liftoff »…..
J’ai un gros coup de cœur pour ce titre « Griggstown Crossing ».

Vincent