Si un jour dans Margoth.pdf, tu allais lire une chronique sur des genres tels le nu- metal (Korn, Limp Bizkit, Deftones), le punk rock (Pennywise, Misfits), le grunge (Alice in Chains, Nirvana), le metal industriel (Rammstein), ben avec cet album de Fecalizer c’est parti.

Je fais parti des métalleux qui ont commencé leur éducation musicale métallique par le côté « grand public » du rock métal en général, puis en ayant vite fait le tour, je me suis plongé dans les méandres abyssales de l’underground pour ne jamais en ressortir même si parfois je ne crache pas sur quelques classiques métalliques…

Fecalizer, c’est un trio mexicain pratiquant un gore death grind fort sympathique depuis 2005.
Et tu penses, quel est le rapport entre le nu métal, le punk rock (etc..) et Fecalizer ?
Ben, si tu veux rendre hommage à la musique qui a bercé tes tendres années. Tu sors cet album.
Reprendre ces classiques à la sauce Fecalizer, ca sent la soirée karaoké bien imbibée à reprendre en cœur « got the life », « fuck authority » (je vais peut être me remettre à Pennywise), « nookie », « sehnsucht » (de qui tu sais sans le côté industriel, bien punk crade), « die die helena » (jolie ballade pour amoureux psychotiques des Misfits), « be quiet and drive » (en gardant l’atmosphère original des Deftones) et le final « Orgamastron » (des Motorhead Mais à la sauce Sepultura).

Cet album est une réussite, un vrai voyage dans le temps à la « retour vers le futur » tout en gardant la touche Fecalizer.

Vincent